ATTENTION : Suite à un rachat, le site est inaccessible depuis fin 2011.
Tumultueuse histoire que celle d’iFrance. Site réputé à la belle époque de la bulle Internet, le portail a été revendu chèrement à Vivendi, qui l’a ensuite abandonné. Repris en 2005, par une nouvelle équipe, iFrance tente depuis de remonter la pente. Après une phase douloureuse de remise à plat, iFrance a sorti de nouveaux projets de ses cartons. Et notamment un webmail entièrement en Flash sous la nouvelle marque iDOO. Mais, début 2009, de nombreux et graves problèmes techniques ont sérieusement entaché la réputation du service. Tout n’est d’ailleurs apparemment pas rentré dans l’ordre…

La nouvelle interface du service mail d’iFrance
Les plus et les moins
Points positifs
- Courriers accessibles par webmail et par logiciel de messagerie
- De nombreuses versions internationales : iBelgique, iSuisse, iQuebec, iEspana et iItalia.
Points négatifs
- Les sérieux problèmes techniques survenus début 2009 ont laissé encore des traces.
- A l’occasion de la migration de 2005, de nombreuses fonctionnalités (accès par Minitel et téléphone, redirection, règles de messages, etc.) ont disparu
- Filtre antispam peu efficace
L’avis d’Arobase.org
Le service ne répond plus depuis fin 2011. On ouvrira une adresse e-mail ailleurs.
Lisez les avis des visiteurs d'Arobase.org et laissez le vôtre !
Quelques questions
- Comment supprimer une adresse e-mail iFrance ? Envoyez un e-mail au webmaster d’iFrance (webmaster@ifrance.com) en précisant le nom de votre compte ainsi que son mot de passe pour identification.
- J’aimerais écrire par voie postale à iFrance. Quelle est leur adresse ? iFrance / iEurop 137 Boulevard Voltaire 75011 Paris
Bonjour,
Je ne suis plus sur ifrance depuis une vingtaine d’année, et malgré tous, j’ai toujours des mails qui partent sur ifrance. Mais contact m’envoie des mails sur mon adresse mail Yahoo, et ceux-ci sont réexpédiés sur mon ancienne adresse mail d’ifrance.
Je souhaiterai que résolviez ce problème afin de ne plus avoir ce désagrément.
M. CORDIER.